Tout m’attirait et tout me rendait heureuse : les théâtres, les soirées philanthropiques, les cercles littéraires avec leurs discussions sans fin et sans résultat apparent sur les sujets les plus différents et les plus abstraits. L’intérêt de ces discussions, qui pour les habitués avait à la longue sensiblement diminué, conservait pour moi tout le prestige de la nouveauté.
Description:
Tout m’attirait et tout me rendait heureuse : les théâtres, les soirées philanthropiques, les cercles littéraires avec leurs discussions sans fin et sans résultat apparent sur les sujets les plus différents et les plus abstraits. L’intérêt de ces discussions, qui pour les habitués avait à la longue sensiblement diminué, conservait pour moi tout le prestige de la nouveauté.
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