Le dernier descendant des Balesta, Joachim, n’a pu résister à l’appel du
souvenir de ses ancêtres (dont il a raconté l’histoire dans Les Balesta
et Sabinus). Il revient dans la charmante bourgade de Pierrelousse qui a
peu changé. Il s’installe dans une vieille maison de la place des
Aubignettes, à l’ombre du vieux Saint-Luc, l’orme immense, mystérieux et
familier.
Dans ce cadre va se dérouler une étrange histoire où se mêleront
l’amour et la haine, la foi la plus pure et les plus sordides intérêts,
où s’opposeront les uns aux autres les nouveaux personnages de la
mythologie de Bosco : la servante Agathe, le garçon de café Amédée, qui
possède tous les secrets de la ville, Prosper et Balagne, les mauvais
génies, et les locataires de la vieille maison : l’inoffensif ménage
Grabillot, Adélaïde la folle, Fulbert, le jeune bossu douloureux, le
luthier Miralet et sa fille, la passionnée et funeste Mélanie qui
parfois fait dialoguer sa harpe avec la flûte du narrateur.
Joachim sera le centre des passions de tous ces personnages,
déchaînées avec une sourde violence. Il ne leur échappe que par la fuite
au bord de la mer, où, en une étrange vision, surgira devant lui le
vaisseau de son ancêtre corsaire, L’Épervier, disparu en 1827 dans les
eaux grecques au cours d’un engagement contre les bâtiments des Anglais
et des Turcs.
Une fois de plus, dans L’Épervier, Bosco évoque avec une tendre
minutie aussi bien les aspects insolites des objets quotidiens que les
nuances infinies des songes, des silences et des secrets qui forment
pour lui l’essence même de la vie.
Description:
Le dernier descendant des Balesta, Joachim, n’a pu résister à l’appel du souvenir de ses ancêtres (dont il a raconté l’histoire dans Les Balesta et Sabinus). Il revient dans la charmante bourgade de Pierrelousse qui a peu changé. Il s’installe dans une vieille maison de la place des Aubignettes, à l’ombre du vieux Saint-Luc, l’orme immense, mystérieux et familier.
Dans ce cadre va se dérouler une étrange histoire où se mêleront l’amour et la haine, la foi la plus pure et les plus sordides intérêts, où s’opposeront les uns aux autres les nouveaux personnages de la mythologie de Bosco : la servante Agathe, le garçon de café Amédée, qui possède tous les secrets de la ville, Prosper et Balagne, les mauvais génies, et les locataires de la vieille maison : l’inoffensif ménage Grabillot, Adélaïde la folle, Fulbert, le jeune bossu douloureux, le luthier Miralet et sa fille, la passionnée et funeste Mélanie qui parfois fait dialoguer sa harpe avec la flûte du narrateur.
Joachim sera le centre des passions de tous ces personnages, déchaînées avec une sourde violence. Il ne leur échappe que par la fuite au bord de la mer, où, en une étrange vision, surgira devant lui le vaisseau de son ancêtre corsaire, L’Épervier, disparu en 1827 dans les eaux grecques au cours d’un engagement contre les bâtiments des Anglais et des Turcs.
Une fois de plus, dans L’Épervier, Bosco évoque avec une tendre minutie aussi bien les aspects insolites des objets quotidiens que les nuances infinies des songes, des silences et des secrets qui forment pour lui l’essence même de la vie.